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REMISE ET REPRISE SUR LE POSTE DU SECRETAIRE GENERAL DE CARITAS BURNDI

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Les cérémonies ont eu lieu ce lundi 16 Septembre 2024 au siège de Caritas Burundi à Bujumbura sous le haut Patronage de son Excellence Monseigneur Georges BIZIMANA, Président de Caritas Burundi et Evêque du Diocèse de Ngozi, en présence du Comité exécutif et du Conseil de Coordination de Caritas Burundi. Le nouveau Secrétaire Général, l’Abbé Bernard CUBWA succède l’Abbé Jean Baptiste HAKIZIMANA, Secrétaire Général de Caritas Burundi depuis Septembre 2021.

Mise à jour le Mercredi, 18 Septembre 2024 08:54

APPEL D’OFFRE POUR LE RECRUTEMENT D’UN CHARGE DE COMMUNICATION ET MOBILISATION DES RESSOURCES

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Caritas Burundi est un réseau d’organisations diocésaines fondé par la Conférence des Evêques Catholiques du Burundi en 1962. Soucieuse de la dignité de la personne humaine, l’Option préférentielle pour les pauvres, la destination universelle des biens de la terre, la solidarité et la conservation de la planète. Elle est également membre de la confédération de Caritas Internationalis avec plus de 166 membres dans le monde.

CARITAS BURUNDI désire recruter pour une durée d’une année renouvelable sur base des performances, Un chargé de communication et mobilisation des Ressources  qui assurera toutes les taches de communication et de mobilisation des ressources à Caritas Burundi. Pour plus de détails veuillez télécharger les termes de référence sur ce lien.

Mise à jour le Vendredi, 09 Août 2024 09:23

Projet AAP : Caritas Burundi organise une foire pour la promotion des produits à haute valeur nutritive

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Cette activité couplée à la distribution des produits à haute valeur nutritive aux enfants de moins de cinq ans et aux femmes enceintes et allaitantes a eu lieu le 29 Mai 2024 au chef -lieu de la commune Mwakiro en province Muyinga. Elle se place dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Contribution à la lutte contre la malnutrition par le développement des filières des produits locaux et nutritifs » exécuté par Caritas Burundi et World Vision International Burundi avec le financement de l’Ambassade de France au Burundi à travers l’Aide Alimentaire Programmée, AAP en passant par les agences des Nations Unies, UNICEF, PAM et ONU FEMMES pour une enveloppe budgétaire de huit cent mille euros.

Ce projet mis en œuvre depuis janvier 2024 dans les communes de Mwakiro et Gasorwe en province Muyinga vise à améliorer le régime alimentaire et l’état nutritionnel des groupes vulnérables à savoir les enfants de moins de cinq ans ainsi que les femmes enceintes et allaitantes.

Dans son discours d’Acceuil, l’Administrateur de la commune Mwakiro, Madame Joselyne BARANYANKA a exprimé sa reconnaissance aux initiateurs de ce projet dont les activités ont permis de développer et de renforcer les capacités de la communauté en matière de pratiques agricoles et nutritionnelles. Elle a demandé à la population de s’inspirer des savoirs -faire des coopératives ouvrantes déjà dans la transformation surtout que cette commune sera bientôt dotée d’électricité.

S’exprimant au nom des Agences des Nations unies, UNICEF, PAM et ONU FEMMES, Gille Peyron a rappelé que ce projet s’appui sur les acquis de la première phase financée également par l’Ambassade de France à travers « l’Aide Alimentaire Programmée » avec des approches des actions de changement de comportements intégrant la dimension genre à travers une alimentation saine, diversifiée et durable. Ainsi, a-t-il poursuivi, le projet est aligné aux priorités du Plan National de Développement du Burundi 2018-2027 et intègre en même temps les orientations du plan stratégique de chacune des agences sœurs des Nations Unies définies avec le gouvernement du Burundi pour contribuer à l’attente des objectifs de développement durable.

« La malnutrition reste un défi majeur au Burundi. Plus d’un enfant sur deux de moins de cinq ans souffrent de retard de croissance et seulement deux enfants sur dix de moins de cinq ans ont un accès à la diversité alimentaire minimum », a précisé Gille Peyron en attirant l’attention des personnalités ayant participé à cette foire. « Ce problème a des répercussions néfastes sur le bien être et le potentiel de développement des jeunes générations. Un enfant malnutri, ce n’est pas un adulte épanoui ! », a-t-il ajouté.

C’est pour cette raison, a-t-il précisé, que les trois agences onusiennes se sont alliées dans le cadre de ce projet pour que des aliments à haute valeur nutritive puissent être mise à la disposition et consommée dans les communautés et au sein des ménages en renforçant les chaines de production, de transformation et de diffusion de ces produits.  

En sa qualité d’organisation mettant en œuvre les activités de ce projet, le Secrétaire Général de Caritas Burundi, Abbé Jean Baptiste HAKIZIMANA se réjouit des réalisations déjà enregistrées. « Nous exprimons notre gratitude aux moyennes et petites unités ayant accepté de mettre à la disposition de la communauté les services de transformation et de fortification des produits agricoles locaux en vue de permettre aux consommateurs en général et en particulier aux enfants de moins de cinq ans mais aussi aux femmes enceintes et allaitantes d’avoir des aliments de haute valeur nutritive », a-t- il précisé.

Le Secrétaire Général de Caritas Burundi, Abbé Jean Baptiste HAKIZIMANA a remercié l’Ambassade de France au Burundi qui a mis à la disposition des Agences des Nations Unies, UNICEF, PAM et ONU FEMMES le budget ayant permis de mettre en œuvre ce projet dans les communes Mwakiro et Gasorwe au profit des enfants de moins de cinq ans mais aussi des femmes enceintes et allaitantes. Il a profité de cette occasion pour demander à l’Ambassade de France de voir comment financer une troisième phase de ce projet avec une période d’exécution d’au moins deux ans en vue de réaliser des changements tangibles auprès de la communauté.

Moment d’échange et de coaching

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La Foire a été précédée par une visite guidée sur les sites des groupements des femmes encadrés par Caritas Burundi dans le cadre de ce projet. Les délégations de l’Ambassade de France au Burundi, de l’UNICEF, du PAM et de l’ONU FEMMES ont ainsi été témoins des acquis du projet et ont, par la même occasion, compris les préoccupations et les aspirations des membres de ces groupements.

« ODEDIM- Caritas Muyinga nous a donné des intrants agricoles et des formations sur les bonnes pratiques agricoles et la bonne gestion de la récolte. ODEDIM – Caritas Muyinga nous a également donné des lapins qui nous ont été d’une grande importance car leurs urines nous fournissent de la fumure organique et de biopesticide pour protéger nos cultures. Ces formations ont été même vulgarisées auprès des autres ménages notre colline », témoigne Jeanne Paula NSABIMANA, Secrétaire du groupement « TWITAMBUTSE » ayant cultive sur la colline Butobwe un champ de maïs d’une superficie de 2 hectares  

« Dans deux ans nous voulons avoir une coopérative et se doter des moyens de déplacement pour visiter d’autres groupements en vue d’échange d’expérience. Nous voulons avoir notre propre unité de transformation des produits que nous cultivons. », a renchérie MBONYIMPANO Léanne, elle aussi membre du bureau de ce groupement

Le moment d’échange a finalement pris la forme d’une sorte de coaching au profit de ces femmes, membres de ce groupement.

Mise à jour le Mercredi, 05 Juin 2024 09:58

Session annuelle ordinaire de l’assemblée Générale de Caritas Burundi

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Cette session ordinaire annuelle qui a eu lieu le 21 Mai 2024 au siège de Caritas Burundi avait pour objectif d’évaluer l’état d’avancement de l’Eglise Catholique dans le domaine de la pastorale sociale. Elle constitue également un moment propice de bien orienter davantage l’action pastorale de l’Eglise dans le domaine de la charité.

Dans son mot d’accueil et d’ouverture des travaux de cette session, le Président de Caritas Burundi et Evêque du Diocèse de Ngozi, Monseigneur Georges BIZIMANA s’est réjoui de constater que les différents Diocèses continuent à mettre en œuvre les activités inscrites au plan stratégique de Caritas Burundi malgré les moyens qui sont limités.

Leurs Excellences Evêques ont analysé le rapport consolidé du Réseau Caritas pour l’année 2023 , le rapport financier audité pour l’exercice 2023 ainsi que les divers.  

Ont pris part à cette assemblée Générale, l’Archevêque du Diocèse de Gitega et Président de la Conférence des Evêques Catholiques du Burundi, Monseigneur Bonaventure NAHIMANA ; l’Evêque du Diocèse de Bururi et Vice-Président de la Conférence des Evêques Catholiques du Burundi, Monseigneur Salvator NICITERETSE ; l’Evêque du Diocèse de Muyinga, Joachim NTAHONDEREYE ; l’Evêque du Diocèse de Ruyigi, Monseigneur Blaise NZEYIMANA. L’Archevêque du Diocèse de Bujumbura a été représenté par Monseigneur Vicaire Général, Anatole RUBERINYANGE. L’assemblée Générale a vu enfin la participation des membres du comité exécutif de Caritas Burundi et des Secrétaires Exécutifs des Caritas Diocésaines

Célébration de la fête du Travail, édition 2024 : « Caritas Burundi sera ce que nous voulons qu’elle soit »

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Le Représentant du personnel et la Direction de Caritas ont tour à tour convergé sur ce point lors de la célébration de la Journée Internationale du Travail et des Travailleurs, édition 2024. A l’instar des occasions antérieures, les cérémonies marquant cette journée ont débuté par une messe d’action de grâce à la Chapelle de Caritas Burundi, suivies par le partage d’un verre et l’échange de vœux de Joyeuse Fête à travers des discours du Représentant du Personnel et du Secrétariat Général.

 S’exprimant au nom du Personnel, Monsieur Delphin TUNGAMWESE a précisé que le personnel de Caritas Burundi se donne corps et âme, dans l’entente et la bonne collaboration, pour réaliser toutes les tâches qui lui sont confiées pour la mise en œuvre des projets et programmes. Il a ainsi encouragé ses collègues à s’atteler davantage à leurs missions. « Caritas Burundi sera ce que nous voulons qu’elle soit. Si nous voulons qu’elle soit en bonne position, elle le sera ; si nous voulons qu’elle soit dans des difficultés, elle le sera également », a-t-il fait remarquer.

Le Représentant du personnel a également émis le souhait que  la Direction puisse organiser une séance de retraite pour passer au peigne fin toutes les forces et les faiblesses de Caritas en vue d’arrêter des stratégies visant à corriger ce qui ne va pas et profiter de toutes les opportunités qui se présentent. Il a enfin terminé son allocution en demandant à la Direction de voir comment, dans la mesure du possible, améliorer les conditions de travail.

Prenant la parole, le Secrétaire Général de Caritas Burundi, Abbé Jean Baptiste HAKIZIMANA a rappelé que la fête du Travail se célèbre dans l’orientation du Pape Pie XII qui a institué en 1955 qu’elle soit dédiée à Saint Joseph, le Saint Patron des travailleurs. La fête du travail, a-t-il dit, n’est pas une occasion de revendication mais plutôt est un moment qui nous rappelle que Dieu après avoir créé la terre a donné à l’homme la mission de l’entretenir et de la protéger par son travail. « Tout travail doit être accompli pour rendre grâce à Dieu et non à l’homme », a-t-il ajouté.

Le Secrétaire Général de Caritas Burundi a ainsi indiqué que la fête du Travail et des travailleurs constitue une bonne opportunité à l’employeur et aux employés de faire une évaluation commune pour préciser ce qui va très bien et dégager des stratégies pour relever les défis éventuels. « Faisons de Caritas Burundi notre propre maison dont nous avons l’entière obligation de prendre soin. Caritas Burundi sera ce que nous voulons qu’elle soit », a-t-il fait remarquer en reprenant ce qu’avait déjà dit le représentant du personnel.

Concernant la préoccupation en rapport avec la forte dépendance de Caritas Burundi aux projets, le Secrétaire Général a fait savoir que la stratégie à adopter est de multiplier les activités génératrices de revenus ayant le format de modèle économique tel que le recommande le réseau Caritas Africa. C’est d’ailleurs pour cette raison, a-t-il ajouté, que Caritas Burundi est en train de voir comment se doter d’une pharmacie de gros qui pourra appuyer les autres initiatives déjà en place.

Une grande reconnaissance au personnel du projet paludisme communautaire

La célébration de la Journée du Travail et des Travailleurs, édition 2024 est arrivée au moment où Caritas Burundi vient de clôturer le Projet de Paludisme Communautaire qu’elle avait bien mis en œuvre, sous le Financement du Fonds Mondial de Lutte contre le Sida, la Tuberculose et le Paludisme, pendant une bonne dizaine d’années. La célébration a été donc pour la Direction de Caritas Burundi une occasion d’exprimer sa vive reconnaissance au personnel de ce projet pour ses meilleures prestations. 

« C’est un projet qui a fait une grande fierté à Caritas Burundi. Tous les audits qui ont été réalisés, y compris même le dernier en date, n’ont montré aucune imperfection majeure. C’est donc un grand honneur pour vous et pour Caritas Burundi. Vous vous êtes donnés corps et âme. Certains ont même marché sous la pluie pendant certains moments du projet. Nous vous en remercions et vous souhaitons pleins succès »

Au nom du personnel du Projet, le coordonnateur, Dr Léonidas MISAGO a remercié la Direction de Caritas Burundi pour avoir bien voulu les associer dans la célébration de la journée Internationale du Travail et des Travailleurs. Il a témoigné qu’ils ont passé d’agréables moments à Caritas Burundi. « Nous avons partagé les moments de plaisirs et les moments difficiles comme des frères et sœurs. Nous sommes très heureux que nous avons bien accompli les tâches qui nous étaient confiées. Nous sommes fiers d’avoir apporté notre humble contribution en faveur de la dignité de la personne humaine »  

Mise à jour le Vendredi, 10 Mai 2024 14:11

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